© ANTINOÜS SERANILL - Antinoüs B.D.X / L.Z - 2015 - 2021
Les
Vénus
paléolithiques
sont
comme
leurs
noms
l’indiquent
des
statuettes
eurasiatiques
féminines
caractéristiques
de
la
période
du
paléolithique
supérieur
(période
de
la
Préhistoire
qui
est
caractérisée
par
l’arrivée
de
l’homo-sapiens
en
Europe
entre 45 000 et 10 000 ans avant notre ère).
C’est en 1864 que la première vénus paléolithique fut découverte à Laugerie-Basse.
Connu sous le nom de « Vénus impudique ».
Les
interprétations
des
Vénus
paléolithiques
beaucoup
de
théorie
s’affronte
allant
de
la
théorie
des
premières
images
porno
jusqu’à la matérialisation d’une divinité associée au culte de la fécondité ou de la Déesse-Mère.
Le
terme
de
venus
leur
fut
donnée
par
analogie
à
la
déesse
de
la
beauté
romaine
parce
que
les
préhistoriens
pensent
qu’elles
représentaient les idéales de beauté durant la période du paléolithique supérieure.
Le culte des vénus suit le principe des cultes des heros et précisement le culte du premier esprit, de la première mère.
La légende dit que du néant est né l’Unique,
le UN.
Celui sans nom, sans sexe, sans visage, UNIQUE et pourtant multiple, ténèbres et pourtant lumière.
Le UN donna naissance à notre monde, au cosmos, au ciel, aux étoiles, à la terre, aux océans, aux vents et aux flammes.
Il
organisa
l’univers
afin
que
tout
soit
en
mouvement,
que
le
soleil
du
jour
laisse
place
à
la
lune
de
la
nuit
et
la
lune
de
la
nuit
laisse place au soleil du jour.
De cette terre, humide il donna le souffle de la vie aux plantes, aux animaux et aux hommes.
Alors que les animaux et les plantes devez suivre un schéma de vie, réglé sur les cycles de la nature.
L’Unique
offrit
aux
hommes
le
plus
beau
des
cadeaux
le
libre
arbitre,
ainsi
qu’une
responsabilité
celui
d’être
au-delà
du
règne
animal,
au
delà
du
règne
végétal.
Le
lien
entre
lui
et
la
terre.
Et
pour
cela
ils
leurs
donna
la
parole,
la
réflexion
et
l’amour. Mais comme tout doit être équilibre, l’homme doit faire partie de cet équilibre.
Et
malgré
que
l’unique
est
donné
aux
humain
la
beauté
de
la
vie,
il
leur
offrit
aussi
la
beauté
de
la
mort
afin
d’équilibrer
le
tout.
La
première
génération
d’humain
vivait
comme
dans
un
paradis,
ils
ne
connurent
aucune
guerre
aucune
maladie,
aucun
mort.
La
légende
nous
raconte
que
:
Le
premier
être
humain
à
mourir
fut
une
jeune
femme,
la
première
mère,
la
première
femme
à
avoir
connus
les
plaisirs
du
corps
et
la
souffrance
de
l’enfantement.
Elle
mourut
en
couche
sans
avoir
pu
connaitre
son
enfant
qui
venait
de
naitre.
Dans
le
monde
des
esprits,
la
première
des
mères
découvrir
que
les
hommes
se
retrouvaient
seuls,
sans
aide,
sans
protecteur,
et
que
son
enfant
vivra
sans
son
réconfort
et
qu’il
ne
sera
jamais
protégé.
Elle
décida
donc
de rester sur terre prêt de lui et de son clan, son peuple, sa famille.
Ainsi
naquis
le
premier
esprit,
le
premier
ancêtre,
le
premier
dieu.
La
mère
de
tous
dont
nous
descendons
tous.
Celle
qui
fut
représenté dés le néolithique sous la forme d’une femme enceinte, une mère.
Elle fut connue à travers les âges sous différents noms :
Balisama,
Bastet,
Durga,
Ishtar,
Dea
Matrona,
Hestia,
Vesta,
Frigg,
Gabija,
Matka
Gabia,
Berehynia,
Anito,
Kamui
Fuchi,
Zashiki warashi, Chantico, Marie.
Pour plus d’information sur la Vénus du Néolitique, son culte et sa Magie
“MANUEL DE DEVOTION DES VENUS DU PALEOLITHIQUE”
par Antinoüs Seranill :